La Collection Tassi, en partenariat avec le Casablanca Hotel, dévoile sa nouvelle ligne de créations pour le printemps-été 2017. Un millésime qui célèbre l’exotisme et les couleurs chatoyantes de l’Afrique, continent à l’honneur. Conçue autour de la thématique «Pink Safari», la collection sublime, cette année, la beauté de l’Afrique dans toute sa splendeur, ses richesses esthétiques naturelles, chargées d’histoire et de culture. «L’art doit naître du brassage des cultures», c’est la devise du designer Karim Tassi. Sur le podium, les imprimés se mélangent dans des tons de terre, là où les imprimés de fleurs transportent tous les sens vers une atmosphère de fraîcheur estivale. Les coloris kaki et les imprimés militaires s’entre-lassent dans un ballet subtil de matières, rythmé de couleurs vives : Du rouge au fuchsia, en passant par le jaune… Le pantalon large et court arrive en force et se met dans tous ses états : satins, crêpes, shantungs…Cette silhouette tzigane sortie d’une savane orientalisée se précise avec des superpositions de différentes longueurs. La femme Tassi se joue d’une nonchalance guerrière à travers des lignes fluides et longilignes. Le style urbain peut facilement s’intégrer avec les lins gris qui se marient aux guipures, ou encore aux dentelles blanches. La collection présente aussi le Sélam en habit d’apparat, protecteur des grands vents, jouant la pluralité entre couleurs, matières et longueurs. L’ambiance Afrique appelle à l’audace et aux mélanges osés. Les sacs «Arty» prennent des allures de vrais œuvres plastiques peints-main. La peinture sur soie devient un message récurrent pour chaque saison, agrémenté du masque Africain mis à l’honneur dans cette collection TASSI Printemps-Eté 2017. Cette saison, la semelle plate donne une allure légère à la silhouette, là où le compense sert à élancer les lignes telles empruntant la silhouette des gazelles. Cette édition de la collection TASSI incarne aussi une dimension solidaire à travers le soutien de l’Association «Bab Rayan» d’aide à l’enfance, en mettant à disposition un caftan d’une valeur de 50.000 Dirhams, réalisé à partir du Bazin, matière originaire du Mali.