Distinctions exceptionnelles et nouveaux talents au Festival Cinématographique de Marrakech

by La Rédaction

Une nuit d’émotions et d’éloges a enflammé le Festival de Marrakech, marquant une page historique dans l’univers cinématographique. L’éclat des étoiles s’est manifesté de manière inédite avec des distinctions exceptionnelles, honorant des œuvres locales et internationales et célébrant l’audace et l’excellence dans le 7e art.

Sous les projecteurs, l’Étoile d’or a tracé un chemin unique en récompensant pour la première fois un film marocain, « La mère de tous les mensonges » d’Asmae El Moudir. Cette reconnaissance éblouissante met en lumière le génie créatif du cinéma marocain, illuminant de manière éclatante cette réalisation exceptionnelle.

   

Le prix du jury, partagé avec équité, a magnifié deux productions exceptionnelles : « Les Meutes » de Kamal Lazraq (Maroc) et « Bye Bye Tibériade » de Lina Soualem (Palestine). Notons que ces œuvres primées émergent des « Ateliers de l’Atlas », attestant de l’impact positif du programme industriel du festival, devenu catalyseur pour les nouveaux talents émergents du monde arabe et d’Afrique depuis sa création en 2018.

Cette soirée de consécrations n’a pas seulement élevé les réalisateurs, mais a également mis en avant des performances individuelles exceptionnelles. Le prix de la mise en scène a distingué la maîtrise artistique et la vision créative de Ramata-Toulaye Sy pour son film « Banel & Adama » (Sénégal).

Les talents d’interprétation ont également été sous les feux de la rampe. Asja Zara Lagumdzija a été couronnée du prix d’interprétation féminine pour son rôle éclatant dans « Excursion » de Una Gunjak (Bosnie), révélant ainsi son immense talent et son engagement dans l’art de la performance.

Enfin, le prix d’interprétation masculine a salué l’excellence et la profondeur du jeu d’acteur de Doga Karakas dans « Dormitory » de Nehir Tuna (Turquie), clôturant ainsi cette nuit de célébrations artistiques et cinématographiques.

   

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