[vc_row][vc_column][vc_column_text]D’où il vient et où il est
Ce marocain venu de Taounat, petit village près de Fès, est actuellement installé à New york à la tête de « American Artist company ». Il a sillonné le monde plus de 14 fois pour représenter des stars du showbiz en tant que manager. Et pas des moindres : Rihanna, Bruno Mars, Drake, Akon, Puff Daddy, Usher, Pitbull, Pharrell Williams, Will I Am, Chris Brown, 50 Cent, Busta
Rhymes, Paris Hilton, Pamela Anderson, Lady Gaga, Sean Paul, Shaggy, Nicky Minaj, Mike Tyson , Jamie Foxx, DJ Bob Sinclar, Enrique Iglesias, Alicia Keys, Lil Wayne, Mika, Craig David et bien d’autres.
De parents ouvriers qui ont immigré en France pour améliorer leurs conditions, Mani la musique dans les tripes, et le rythme aux pieds décroche à 20 ans le premier prix de danse du conservatoire supérieur de Dijon, obtient une bourse et le voilà montrant ses performances à la prestigieuse école « Steps » de New york en tant que danseur, puis chorégraphe pour finir directeur artistique.
« J’étais comme un indien dans la ville ; de la banlieue à Manhattan et Times square » dit-il. D’une curiosité fulgurante Mani apprend tout : les éclairages, les costumes, la direction de la musique, le visual concepting. Tout est source d’apprentissage pour lui. Lors d’une interview en mars 2019 pour l’émission « Meilleure soirée Télé », Mani insiste sur l’approche de l’humain. Il dit poser des questions sur tout, être impressionné par tout ce qui est nouveau.
Son perfectionnisme se fait remarquer d’abord par Ophélie Winter dont il était danseur dans la troupe, qui lui demande de gérer sa carrière et de la lancer en Amérique. Mani assure le défi. Inspiré de Jean Roch dans son approche révolutionnaire du monde de la nuit, il applique la stratégie du marketing de haut niveau et le voilà dans les clubs les plus branchés de Saint-tropez, Cannes, Dubai, Miami, Marrakech, et bien d’autres capitales allant jusqu’à être le premier à faire venir des stars de la musique dans les festivals de cinéma entre autres, tels que celui de cannes aux cotés de Al pacino ou Sylvester Stallone. Mani a une grande estime pour ses collaborateurs américains qu’il a trouvé accueillants et sans jugement. Il a déclaré que dans le monde artistique, on ne regarde pas la couleur ou la religion. La discrimination se fait
par rapport au niveau d’aptitude. Il a eu le soutien de son ami Puff Daddy qui lui a fait
confiance et l’a présenté à plusieurs personnes auprès de qui il a montré qu’il en était digne.
Beaucoup de travail, de planification de connaissance artistique et surtout de principes et valeurs humaines ont pu le propulser jusqu’à incarner le rêve Américain. Mani, le marocain ami des stars continue à avancer guidé par son sérieux et son humanisme.
Par Mounira Tyal
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