Taylor Swift continue d’imposer son règne sur l’industrie musicale. Pour la cinquième fois, et la troisième année consécutive, elle a été sacrée Global Recording Artist of the Year par l’IFPI, un exploit inégalé. Cette distinction couronne une année 2024 exceptionnelle, marquée par un succès fulgurant tant sur le plan discographique que scénique.
En avril dernier, Swift a dévoilé The Tortured Poets Department, son onzième album, un projet mûri sur deux années et marqué par des thématiques introspectives. L’album a immédiatement dominé les classements mondiaux et s’est imposé comme l’un des plus grands succès de l’année, atteignant 5,6 millions d’exemplaires vendus en 2024. Mais le phénomène ne s’est pas arrêté là : porté par cette dynamique, son catalogue passé a également connu un regain d’intérêt. Ainsi, Lover, 1989 (Taylor’s Version), Midnights et Folklore ont tous figuré dans le top 20 des ventes mondiales, confirmant la longévité et la pertinence de son œuvre.
Parallèlement, The Eras Tour a marqué l’histoire. Officiellement désignée comme la tournée la plus lucrative de tous les temps, elle a attiré des millions de spectateurs à travers le monde. Son succès phénoménal lui a valu d’être nommée “Tour of the Century” lors des iHeartRadio Music Awards 2025, une consécration qui souligne son impact culturel et son rôle de référence pour l’industrie du spectacle.
Si Taylor Swift brille professionnellement, sa vie personnelle n’a pas manqué d’attirer l’attention en 2024. Sa relation avec Travis Kelce, star des Kansas City Chiefs, a captivé autant les médias que les fans. Présente à plusieurs matchs, elle a été vue arborant fièrement les couleurs de l’équipe. Lors des Grammy Awards 2025, elle a même fait un clin d’œil appuyé à son compagnon en portant une robe rouge éclatante et un pendentif en forme de “T”.
Avec une année aussi mémorable, Taylor Swift ne se contente pas d’écrire des chansons, elle façonne une époque. Reste à savoir combien de records elle ajoutera encore à son palmarès… avant qu’un autre ne se raye.
