Un rêve devenu projet. Nadia se donne tous les moyens pour l’exaucer. Forcer le destin en faisant des choix appropriés où prendre les décisions nécessaires pour y arriver était son objectif majeur : son tour du monde sera entrepris en 2014 et va durer 2 ans et demie.
Sortir de son cocon et de sa zone de confort n’a pas été facile pour cette control freak qui l’avoue d’elle-même : « J’ai toujours besoin de contrôler ce qui se passe autour de moi que ce soit dans mon travail ou dans ma vie personnelle ». C’est ainsi que Nadia quitte sa vie et sa carrière bien établie, dans une agence de pub à Montréal, pour se jeter dans l’aventure : « J’ai dû travailler sur moi-même pour me jeter à l’eau. J’avais l’impression d’avoir les yeux bandés et de plonger dans un gouffre ». Sa première destination, ce sera Ushuaia en Argentine. « Un aller simple pour la fin du Monde », raconte-t-elle avec un petit rire dans la voix. « Cela avait une symbolique pour moi que de me retrouver aussi proche de l’antarctique. Par la suite, mon voyage s’est fait au gré des envies, des rencontres et de mes affinités et c’est ce qui en fait toute la beauté. J’ai découvert des endroits dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Après l’Argentine, j’ai continué à remonter le continent vers le Brésil d’abord et ensuite j’ai fait un loop vers l’Equateur et les iles Galápagos que j’ai adorées. Je suis une grande amoureuse de la nature, faune et flore confondues.
Retrouvez l’intégralité du dossier dans VH MAGAZINE #161 Juillet 2017. Actuellement en KIOSQUE
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