La « fleur éprise » du cinéma, Golshifteh Farahani

by Mounira Tyal

Elle a commencé en trombe avec « Body of lies » de Ridley Scott. Depuis, la vie de cette envoûtante actrice iranienne s’est divisée en deux entre la répression de son pays et son adoption par les plus grands réalisateurs pour son talent. Golshifteh Farahani, poétique en tout.

   

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